Voir la source de VAN VOORST A.C. - L'identité culturelle bretonne au 19e siècle

{{ContentGrid|content={{Box|
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}}{{Box|
{{Isobib
| Type = 1
| NomAuteur = Van Voorst
| PrenAuteur = A.C.
| Titre = L'identité culturelle bretonne - La Bretagne dans la littérature au XIX siècle
| Editeur = University of Groningen
| Publication = -
| LieuEdition = Groningen (NL)
| AnneeEdition = 2009
| Pages = 96
| ISBN = -
| ArchArkae = -
| PropPers = -
}}__NOTOC__
}}}}
<br>{{ContentGrid|content={{Box|
{{Gras|Notice Bibliographique}}

Ce mémoire d'étudiant écrit en français a été publié en 2009 dans le cadre de la prestigieuse université de Groningen aux Pays-Bas, sous le patronage des professeurs Anne-Marie Gans-Guinoune et Alberte Roué.

Document : {{http|scripties.let.eldoc.ub.rug.nl/root/Master/DoorstroomMasters/RomaanseTalenCulture/2009/Frans/Van.Voorst.A.C./?pLanguage¤en&pFullItemRecord¤ON|Catalogue de l'Université de Groningen}} {{Pdflink|images/e/e6/VanVoorst.pdf||Archive}}

La démarche de cet ouvrage très bien écrit et documenté est la suivante : 

{{Citation|
Nous essaierons de répondre à la question principale - « <i> doit-on se sentir breton ou plutôt 
français ou les deux à la fois ?</i> » - en étudiant quatre livres portant sur la 
Bretagne : trois ouvrages d'auteurs français et un ouvrage écrit par un Breton. Afin de reconstituer une 
vision plus large de la France sur la Bretagne, nous avons choisi trois ouvrages divers : 
* un roman d'aventures, <i>Les Chouans</i> de Honoré de Balzac, 
* un journal intime, <i>Mémoires d'un touriste</i> de Stendhal 
* et un récit de voyage, <i>Par les champs et par les grèves</i> de Gustave Flaubert et de Maxime Du Camp. 
Pour l'ouvrage breton, nous avons choisi 
* les <i>Mémoires d'un paysan Bas-breton</i>, l'autobiographie de Jean-Marie Déguignet. 
Nous nous intéressons particulièrement à ce livre car l'auteur n'est pas un 
écrivain au sens propre du mot. Il écrit ses mémoires sans avoir l'intention de les faire publier et ne se 
soucie donc guère de l'opinion des autres Bretons, il nous confie alors une opinion très sincère.
}}
}}{{Box|
{{Gras|Extraits, Transcriptions}}

Le sommaire des 20 pages consacrées à Jean-Marie Déguignet :
{{Citation|
3. LE REGARD D'UN BRETON SUR SA RÉGION 
<br>3.1 JEAN-MARIE DÉGUIGNET
<br>3.2 LES BRETONS
<br>3.2.1 Les langues
<br>3.2.1.1 Sa connaissance des langues, de la littérature
<br>3.2.1.2 Son opinion sur le breton
<br>3.2.1.3 La langue comme moyen social
<br>3.2.2 La religion
<br>3.2.2.1 Déguignet et l'église
<br>3.2.2.2 Les croyances des Bretons
<br>3.2.3 La politique
<br>3.2.3.1 Les révolutions
<br>3.2.3.2 La Bretagne, région française
<br>3.2.3.3 L'armée
<br>3.2.4 La société
<br>3.2.4.1 Le Breton
<br>3.2.4.2 Les us et coutumes
<br>3.2.4.3 Les changements
<br>3.2.4.4 La misère
<br>3.2.5 L'homme dans son environnement
<br>3.2.5.1 L'agriculture
<br>3.2.5.2 Une image romantique
}}

Une des première citations des Mémoires de Déguignet  : 
{{Citation|
« J'ai lu dans ces derniers temps beaucoup de vies, de mémoires, de confessions de gens de cour, 
d'hommes   politiques,   de   grands   littérateurs,   d´hommes   qui   ont   joué   en   ce   monde   des   rôles 
importants ; mais, jamais ailleurs que dans les romans, je n'ai lu de mémoires ou de confessions de 
pauvres artisans, d'ouvriers, d'hommes de peine ». <ref>Page 29, libellée "Cahier n° 1, manquant", de l'édition intégrale des Mémoires d'un paysan bas-breton. Première page du chapitre "Mon enfance" de l'édition de la Revue de Paris publiée le 15 décembre 1904.</ref>
}}
Un extrait de la conclusion du mémoire : 
{{Citation|
Jean-Marie   Déguignet  montre  une  double   attitude  envers  sa  région  natale.  D'une  part,  il 
méprise les habitants pour leur naïveté, leur ignorance et leur confiance absolue en l'Église. Il se sent 
une exception parmi ces gens, et insiste tout au long du récit sur leur stupidité. D'autre part, il éprouve 
une sorte de nostalgie pour la Bretagne, notamment pendant ses missions à l'étranger. Dans ces cas, il 
relativise leur méchanceté en disant que les gens dans les autres communes sont beaucoup plus polis 
que dans la sienne. Il a clairement un lien spécial avec la nature bretonne. Il se sent le plus à l'aise 
quand il est en contact direct avec elle. Il apprécie la nature bretonne, mais vit en désaccord avec les 
Bretons.   
}}
}}}}

==Annotations==
<references/>

{{StatutArticle
 | résumé=Fiche bibliographique d'un livre ou article couvrant un aspect du passé d'Ergué-Gabéric  
 | initiépar=Jean Cognard
 | datecréation=Mai 2011
 | avancement=3
}}[[Catégorie:Biblio|VAN VOORST]][[Catégorie:JMD|4{{PAGENAME}}]]